De : Alexei Nicolaevith
A : Sienna Nicolaevitch
Mercredi 17 Septembre 2008, 13 : 26
Chère Sienna,
Puisqu'appremment je me dois de rédiger une réponse à ce subtilement sympathique courrier électronique, je le fais de la même manière que vous-même, d'une écriture parfaitement bourgeoise (de mes deux.)
Je me dois de contrer vos paroles, très chère, je suis venu devant votre porte la nuit dernière, j'ai toqué, toqué et toqué encore sans jamais entendre l'ombre (oui, oui, on entend les ombres maintenant) d'une voix, et je n'ai pas eu de réponse. Je suis donc repartis bredouille.
Concernant les excuses que je vous dois, je craint de ne pouvoir accéder à votre requêtes.
Recevez mes salutations les plus distinguées, Alexei.