Pour l'amour de B. VIAN ||PV Alexandra N.

|| Désolé, aucune inspiration potable <.<

Boris Vian. Né le 10 mars en 1920, Villey-d'Avray dans les hauts-Seines. Il a écrit beaucoup de livre, de nouvelles, même des chansons et des pièce de théâtre. N'est pas pas splendide venant d'un si grand écrivain? Il eut un autre pseudonyme : Vernon Sullivan. Cette écrivain dénonce, et décrit méticuleusement ses récits, qui sont à dévorer! Et nous arrivons donc à Adriel. L'un des romans qu'il a adoré, c'est "l'écume des jours". Splendide! L' écrivain y mêle l'amour, la maladie, le travail, la religion, la musique jazz.
Des points qui pourraient fortement intéresser notre cher Nicolaevitch, l'un des plus malsains et des plus pervers de toute la famille. Mais passons outre. En poussant la porte de l'endroit le plus fabuleux qui soit, il espérait une part de tranquillité, une totale osmose entre lui et cette endroit, qui regorgeait de trésors, bien plus précieux que tout l'or du monde. Voila l'une des choses des plus importantes aux yeux d'Adriel.

C'était, comme qui dirait, un habitué de l'endroit. L'homme étant assit au centre le salua d'un hochement de tête, et Adriel, avec une certaine politesse, lui rendit son salut. Mais les beaux yeux de notre jeune homme allèrent de suite sur les rangés de bouquin. Il emprunta l'allée de droite et parcouru les étalage de livres de ses yeux. Il savait ce qu'il cherchait très exactement. Un bouquin de Boris Vian, n'importe lequel, du moment qu'il puisse le dévorer sur un des fauteuil confortable de la demeure des Nicolaevitch, sur un arrière de musique jazzy, tout en buvant quelque chose de chaud...

De préférence, la nuit, à une heure relativement tardive. Il aimait lire la nuit, c'était une chose splendide, et, à son sens, cela vous emporte très loin....C'est le moment dans lequel notre imagination est la plus vif, la plus sensible à l'imagination. Enfin, la sienne...Il n'avait pas trop de mal à s'évader du réel. Et puis, au lieu de faire place aux rêves ou au cauchemars, il les inventait à travers les livres.

Donc, vous l'aurez compris, pour Adriel,  Kensington Central Library est l'endroit rêvé pour s'évader. Du moins, si on y rencontre pas de Mac Leold. Enfin, même dans ce cas-là, ils ne lui feraient certainement pas perdre sa bonne humeur! En gros, rien ne pourrait le tirer de sa rêverie...Et de son sourire si séducteur, un brun trop charmeur peut-être? Il effleura de ses doigts finis les livres alignés.

Bien heureusement, cet endroit,à une heure pareil, était très peu fréquenté. Tant mieux, plus le calme était là, et mieux il se sentait.
Ses yeux bleutés se posèrent donc sur la couverture attirante de "Le Ratichon baigneur" qui semblait fort attirant à vue d'oeil. Il prit le bouquin et entreprit de lire le résumé. Intéressant, le bouquin contait plusieurs nouvelles, qui, chacune, répondaient à une question, aussi débile soit-elle. Plusieurs thème s'entremêlaient la dedans, ce qui paraissait fort à intéressant du point de vue d'Adriel. Il s'apprêtait à continuer ses recherches lorsqu'il entendit des pas venir vers lui...